Bonsoir à toutes, à tous, vite vite avant d'aller me coucher. Repos m'a dit ma doctoresse : j'ai 8 de tension. Inversement proportionnel (forcément) à mon livre qui dépasse les 300 pages et vient d'attaquer la quatrième partie.
Rafraîchissement du blog, qui suit pas à pas la progression du roman, la douceur des sentiments, la tristesse aussi.
Je pense à vous très fort même si je n'en ai pas l'air. Bien sûr j'ai du mal à trouver du temps pour tout. J'ai eu quelques petits soucis de santé liés à l'incoercible besoin de tout faire : travailler + écrire + le reste (parce qu'il faut bien vivre) et je n'ai plus trouvé un seul instant pour le blog.
Ainsi, ai-je loupé avec un certain brio l'arrivée du printemps, les jours fériés, la fête des mères, même s'il n'est pas vrai que dans la vie j'ai oublié de la fêter à ma petite maman.
Il ne sert à rien de présenter des excuses et de perdre mon temps en explications. J'imagine que celles et ceux qui se seront vraiment intéressés à mon travail trouveront le courage de me suivre, même en mon absence, pour me retrouver à mon retour.
Je voulais faire un tour sur vos blogs ce soir mais le rafraîchissement du blog m'a pompé toute mon énergie. Et l'heure tourne. Et si je veux pouvoir me lever demain matin (c'est d'autant plus difficile quand la tension flirte avec les pâquerettes ) je ne dois pas trop tarder.
Je vous mets une photo d'Alexander Siddig, qui joue le Juif dans Da Vinci's Demons. Je n'ai jamais vu un regard comme le sien (à part dans mes livres).
Une autre photo extraite de Da Vinci's Demons. Nullement pour provoquer qui que ce soit mais parce qu'elle n'est pas complètement étrangère à mon univers (loin de là) et qu'elle pourrait s'illustrer par la phrase au-dessous que j'ai trouvée, ma foi, fort juste.
Ça vous parle ? - A moi oui. Même que dans mes romans. Mais c'est une autre histoire. Bonne nuit à tous. On se bat ou on s'embrasse ?