Bonjour tout le monde,
Cette nuit j'ai fait un rêve étonnamment réaliste mais j'ai réfléchi, il ne m'est pas possible de le mettre en ligne justement parce qu'il est trop personnel et trop précis. Je l'ai transcrit quand même, mais je le garde pour moi, vous ne m'en voudrez pas.
Et pour le reste ... je manque singulièrement d'inspiration pour le moment. Le temps ne se prête guère aux séances photographiques : tout à l'heure il y avait une telle épaisseur de brouillard qu'on n'y voyait pas à cinq mètres. Et puis mes déplacements ne m'offrent pas l'opportunité de faire des découvertes.
J'ai repris le travail, c'est sans doute pour cette raison que j'ai décroché des blogs (des vôtres et du mien). Une semaine riche en petits événements sans importance qui ont pourtant bien occupé mes journées. Quand j'ai du temps libre, je préfère lire.
Vieille maison du 13ème siècle dans l'Aveyron
Dernièrement j'ai lu deux policiers : Créance de sang de Michael Connelly et L'homme inquiet de Henning Mankell. L'intrigue du premier est si bien ficelée qu'on tombe de haut en apprenant le fin mot de l'histoire. Et pour le second, un ton mélancolique, une fin triste comme tout. Ce matin j'ai attaqué les premières lignes de Meurtres en bleu marine de C. J. Box.
J'aime lire des romans policiers. Autant j'ai du mal à m'y mettre, autant je ne peux plus les lâcher une fois que j'ai les commencés. Je peux en lire trois ou quatre d'affilée, au point que je me mélange un peu les pinceaux dans les protagonistes mais je retombe toujours sur mes pieds.
Les Baux de Provence, village médiéval, porte d'Eyguières
Voilà, je n'ai pas grand chose à ajouter. Je vais me contenter de vous souhaiter un bon week-end. Ce n'est pas encore aujourd'hui, je pense, que je vais faire la tournée de vos blogs. Je me rattraperai en temps voulu. Je vous ai mis deux photos qui m'ont bien plu et qui n'ont aucun rapport avec le sujet. Elles nous rappellent comme notre France est vieille et belle. Nul besoin d'aller très loin pour découvrir des merveilles. On a tout sous le main, nous, les Français.
L'air grave du Blobfish