Je pense que tu visites trop vite ta ville.
C'est un des commentaires qu'on a écrit sur mon article "Dernière quinzaine de septembre", auquel je je ne comprends rien. J'ai demandé des explications ; je n'en ai pas reçu. Alors je vais fermer le blog un moment, recommencer peut-être quelque chose ailleurs, sous une autre forme, je ne sais pas.

De fait j'ignore la vitesse à laquelle il me faut visiter ma ville, je ne savais pas qu'il y avait des règles à suivre. Ce n'est pas le seul commentaire qui me dissuade de continuer. Autant, la plupart sont chaleureux et rassurants quant à l'intérêt que représentent mes publications ; autant, certains sont vraiment désobligeants et remettent en question le bien-fondé de ma présence sur les blogs.
Perso, il ne me viendrait pas à l'idée de juger de la vitesse à laquelle mes amis visitent leur ville ; non plus qu'il ne me viendrait à l'idée de critiquer systématiquement ce que je vois sur les autres blogs. Même si tout ne me plaît pas, j'évite de faire de la peine aux copinautes.
Je crois utile de faire le point sur la situation pour ne pas la laisser pourrir. Ceci dit, les remarques désobligeantes, les jugements hâtifs et sans fondement me fatiguent et j'ai besoin d'une vraie pause pour y voir plus clair et prendre le bonne décision.
J'ai envie d'écrire ; c'est peut-être le moment.
En vous remerciant de votre compréhension, je vous souhaite une bonne soirée et un bon début de semaine. Je laisse les commentaires ouverts pour que vous puissiez vous exprimer librement, même si je ne lirai et ne répondrai que plus tard.
Je vous embrasse, mais pas toutes, mais pas tous.