Hier soir, au terme d'une journée pénible, j'ai tricoté le petit gilet qui manquait à la tenue de mon Little Bad Boy. Maintenant il peut sortir couvert.
Pénible je disais parce qu'hier Pattou a fait tomber la cage des titis. En début d'après-midi, juste après l'heure du déjeuner, j'ai entendu un grand fracas. La cage était par terre, perchoirs et petits accessoires dispersés, cassés pour certains, les graines dans l'eau, mon Punki tout en vrac au fond de la cage. J'ai tout relevé, tout remonté, pendant que titi se remettait de ses émotions. Kiwi, elle, avait mieux surmonté le choc. Mais s'ils avaient dû mourir, l'un ou l'autre ou les deux, j'aurais eu du mal à pardonner à Pattou.
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Ce matin pas de signe inquiétant d'un quelconque traumatisme ou séquelles. Les canaris vaquent à leurs activités comme d'habitude. Ils ont bien dormi. Mais je reste sur le qui-vive, obnubilée par l'idée que Pattou peut réitérer son exploit. Et là je m'apprête à téléphoner au vétérinaire pour faire stériliser d'urgence l'un des deux chatons parce que lui n'arrête pas de roucouler et hier soir il m'a fait pipi par terre.
Moi je dis : il faut les aimer. Pour moins que ça, certains se seraient débarrassés du chat.