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Le blog de Thaddée

"Ce qui parle le mieux de nous, ce n'est pas ce que nous disons, c'est ce que nous faisons. Je fais des livres qui parlent de moi sans le dire." TS | Actualité OB Kiwi et plates-formes de blogs, Déco blogs, Balades à Sète, Chroniques lyonnaises et fidésiennes, Escapades, Histoires de chats et d'oiseaux, Littérature, Photographie, Société, Poupées, Tricot, La vie ... Communauté : "Victor & Victoria", esprit shabby chic, romantique et cosy.

Chacun déménage comme il peut

Publié le 13 Mars 2019 par Thaddée dans Une vie comme les autres

Déménager- Verbe transitif. : 1. Transporter (des objets) d'un logement à un autre. Déménager ses meubles, ses livres.
Verbe intransitif : 1. Changer de logement. Nous déménageons fin mai. 2. (familier) Déraisonner. Tu déménages !

Chacun déménage comme il peut

Tout le monde bouge et moi je stagne. Hier soir, comme je revenais de faire quelques petites coursinettes au Vival de la place, quelle ne fut ma surprise en découvrant que le propriétaire du Coffre à Linge avait liquidé son affaire pour partir à la retraite. Adieu les petites poules, les petites horloges vintage, les peignoirs pour dames. Adieu, ce monsieur cordial et souriant qui ne poussait jamais à la vente et vous saluait toujours d'un petit signe de la main.

Et quelques pas plus loin, même chose avec Zoé en cuisine : après sept ans de bons et loyaux services, Zoé ferme boutique.

Et dans l'histoire moi seule je ne bouge pas, je ne ferme pas boutique, je ne me réinvente pas, je ne sais même pas quoi répondre à ma société de déménagement qui voudrait savoir où j'en suis de mes recherches d'appartement sur Sète, parce que j'en suis au point mort et pour cause, la situation se bloque à nouveau, ça pinaille comme disait mon père, je n'ai toujours reçu aucune Notification de mes Droits de Pôle Emploi, ils sont plus empressés de me recevoir en entretien (demain) que de me payer ce qu'ils me doivent, et la Cafal n'en finit plus de recalculer mon aide au logement au vu des événements récents qui m'ont vu accuser une baisse de revenus conséquente.

Alors quoi. Je me mets à penser à des choses tout à fait extravagantes, comme quoi l'espèce humaine est de toutes les espèces celle que la Nature a le moins gâtée. Pour preuve : regardez un vieil insecte, un vieil oiseau, un vieux chat. N'est-ce pas qu'ils restent beaux ? - Mais nous ... n'avons que quelques années pour briller avant de nous étioler et de nous faner bien plus irrémédiablement que des plantes vertes.

Et encore. Au cœur de mes digressions : l'espace-temps, ce truc immensurable dont on nous rebat les oreilles, qui tournerait peut-être sur lui-même dans un éternel recommencement ... Et si tout était à son instar, si tout tournait en boucle, au gré des naissances et des extinctions, alors il nous serait promis de renaître encore et encore et puis, au fil de nos vies successives, parvenir à réaliser des rêves qu'une vie seule ne nous permettrait pas de concrétiser.

Voilà où j'en suis. C'est une autre façon de "déménager", vous me suivez cheeky ?

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Voyage désorganisé

Publié le 11 Mars 2019 par Thaddée dans Récits Petits mystères au quotidien

Rêve que j'ai fait dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 mars 2019

Je suis en Inde pour trois jours. Notre programme, à mon groupe et moi, est strictement minuté. Nous logeons dans un palais dont on ne compte pas les salles immenses et lumineuses.

Quand soudain sur la gauche quelque chose attire mon attention. Par une des innombrables baies vitrées qui font entrer le soleil je crois voir tomber une pierre ronde comme un boulet de la montagne toute proche. A force de regarder, il me semble en voir d'autres commencer à bouger puis se mettre à rouler. Bientôt, c'est tout le flanc de la montagne qui s'éboule. Je donne l'alerte dans un cri. Une grosse pierre brune vient crever la verrière sous laquelle nous nous tenons. Notre responsable nous intime aussitôt l'ordre de nous déshabiller et de revêtir nos tenues de protection. Nous entassons nos effets personnels sur des bancs acculés au mur ; nous les reprendrons plus tard, une fois l'éboulement terminé.

Mais quand je reviens, mes vêtements n'y sont plus. J'ai beau soulever les tas de linge et les éparpiller pour fouiller dedans, je ne retrouve pas mon pantalon, mon tee-shirt et ma vareuse militaire. J'en ai des regrets, vraiment. Pour la peine, je vole subrepticement deux robes blanches qu'il me tarde de porter.

Pour l'heure, je décide de ne pas passer une minute de plus dans ce pays de fous. Je veux regagner l'aéroport, rentrer chez mes parents, rassurer mon père. Mais on m'enjoint cordialement à rester cependant qu'arrive une adorable petite jeune fille blonde vêtue d'une robe sans manches, échancrée sur le devant, qui me paraît être sans aucun doute la réplique de l'une des deux que j'ai volées. C'est dit : je ne me baladerai jamais dans cette petite robe légère. Avec le style que j'ai !

Tout à coup, une forme noire assez gigantesque se cogne à la baie vitrée. Ses déplacements secs et saccadés sont ceux d'un insecte ailé géant. Mes camarades et moi nous paniquons et pour la plupart, nous voulons voir de nos yeux ce qui vole à l'extérieur. Mais les murs nous empêchent de savoir exactement de quelle créature monstrueuse il s'agit.

Alors nous sortons pour en avoir le cœur net, et découvrons dans l'instant que c'est un oiseau noir de taille anormale, qui vole droit sur nous ! Avec quelques autres je me réfugie dans une maison sans demander mon reste, ce qui fait rire l'hôtesse des lieux car l'oiseau noir, selon elle, n'est pas dangereux.

En fin de compte, je me résous à passer mes trois jours en Inde où j'ai fort à faire avec, en tête de liste : remettre la main sur mes vêtements.

On pourrait classer mon rêve dans le genre des comédies horrifiques, qu'en pensez-vous cool ?

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Quais de Saône, autour de l'île Barbe

Publié le 10 Mars 2019 par Thaddée dans Photo et Vidéo

Quais de Saône, autour de l'île Barbe

Entre hiver et printemps, sous les giboulées du mois de mars, j'enfourche mon vroum-vroum pour retourner à l'île Barbe, mais cette fois je longerai les quais. Le soleil se mélange à la pluie, créant des ciels dignes d'un peintre. Certains arbustes sont en fleurs et ça sent bon la sève qui monte en douceur.

Quais de Saône, autour de l'île Barbe

Pourquoi, me direz-vous, choisir pour destination l'île Barbe, encore, alors que nous l'avons déjà vue cent fois.

Quai Raoul Carrié, le premier quai de Saône en rive droite.Quai Raoul Carrié, le premier quai de Saône en rive droite.
Quai Raoul Carrié, le premier quai de Saône en rive droite.

Quai Raoul Carrié, le premier quai de Saône en rive droite.

Eh bien déjà pour avoir un aperçu de l'extérieur de l'île, quelque peu fantomatique ici. A noter que la partie privative de l'île reste interdite d'accès aux visiteurs, j'ignore pourquoi.

Quais de Saône, autour de l'île Barbe
Quais de Saône, autour de l'île BarbeQuais de Saône, autour de l'île Barbe

Mais encore pour prendre la peine et le temps de photographier cette vieille bâtisse, sur laquelle je n'ai malheureusement aucune information.

Quais de Saône, autour de l'île Barbe

En face de la vieille bâtisse, l'île Barbe prend des airs de petit Annecy.

De vieux murs en cascade

De vieux murs en cascade

Le printemps frappe à la porteLe printemps frappe à la porte
Le printemps frappe à la porteLe printemps frappe à la porte

Le printemps frappe à la porte

Regardez-moi cette lumière !
Regardez-moi cette lumière !
Regardez-moi cette lumière !
Regardez-moi cette lumière !

Regardez-moi cette lumière !

Rive gauche, un château sur les hauteurs

Rive gauche, un château sur les hauteurs

Quais de Saône, autour de l'île Barbe

Dernier regard sur une resplendissante insula barbara avant de rentrer "développer" mes photos. Maintenant, je ne sais pas trop si je retournerai me balader le long des quais de Saône, j'ai pas mal écumé tous les patelins du coin. En attendant ... je vous souhaite une bonne fin d'après-midi ; les titis, Félix et moi on vous embrasse.

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Montanay : le puits, la tour

Publié le 7 Mars 2019 par Thaddée dans Photo et Vidéo

Montanay : le puits, la tourMontanay : le puits, la tourMontanay : le puits, la tour

Vers le 11ème siècle, Montanay appartenait aux comtes du Forez, puis fut au 13ème siècle inféodée au sire de Beaujeu par les archevêques de Lyon. Au fil des siècles suivants, une longue série de transactions a fait passer Montanay entre les diverses seigneuries, baronnies, marquisats du secteur.

Montanay

Montanay : le puits, la tour

Tout est concentré là, sur la petite place : la mairie, la bibliothèque, le puits, les écoles. Là ▲ c'est le puits. Ce qu'on voit derrière c'est le toit de la tour qui abrite la bibliothèque.

A gauche, la fresque de l'écoleA gauche, la fresque de l'école

A gauche, la fresque de l'école

La vieille tour qui abrite la bibliothèque de Montanay

Montanay, ça ne paye pas de mine, c'est d'abord une atmosphère. Ainsi que la chance d'une halte au soleil après beaucoup de trajet dans le vent et la circulation. Montanay, c'est juste au-dessus de Neuville dont vous pouvez découvrir ou retrouver l'article ici ▲. Je vous souhaite à toutes à tous une bonne soirée.

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Le château d'Albigny, monument historique

Publié le 5 Mars 2019 par Thaddée dans Lugdunum à tous les temps

La place de l'église où je gare mon scooter

La place de l'église où je gare mon scooter

Cet après-midi je pars sans but précis, et mon point de chute se trouve être, complètement par hasard, Albigny-sur-Saône, dans les Monts d'Or comme de bien entendu. Dès mon arrivée, le village me fait forte impression. La petite église, toute vieille, est super attachante et sur les hauteurs j'aperçois tout de suite un ancien château. Il ne m'en faut pas plus pour me sentir d'attaque, et commencer à grimper dans les rues en pente.

Mais d'abord, la petite église paroissiale de la Nativité-de-Notre Dame

Mais d'abord, la petite église paroissiale de la Nativité-de-Notre Dame

La fontaine à tête de lion

La fontaine à tête de lion

Cette sculpture représentant une tête de lion serait très ancienne. Elle était auparavant accrochée sur un mur du bâtiment principal de la cour actuelle du lavoir. Récupérée pour être placée sur cette fontaine, elle signale l'existence d'un grand réseau de galeries de captage, dont les branches drainent et stabilisent la butte du château.

Le parcours de la santé - idéal pour mourir d'asphyxie

Le parcours de la santé - idéal pour mourir d'asphyxie

Les deux lions : l'occasion de m'accorder une halte nécessaire

Les deux lions : l'occasion de m'accorder une halte nécessaire

Je commence à entrevoir le château (clic pour voir en plus grand)Je commence à entrevoir le château (clic pour voir en plus grand)

Je commence à entrevoir le château (clic pour voir en plus grand)

Vue du château, juste avant d'entrer dans le cimetière

Vue du château, juste avant d'entrer dans le cimetière

La campagne environnante, toute doréeLa campagne environnante, toute dorée

La campagne environnante, toute dorée

Le château d'Albigny, monument historique

Ce n'est pas que je cours spécialement après les cimetières mais de l'intérieur la vue sur le château est splendide.

Ce que j'ai hâte de le voir de près, ce château !Ce que j'ai hâte de le voir de près, ce château !

Ce que j'ai hâte de le voir de près, ce château !

Le château d'Albigny, monument historique

Pour prendre cette photo par dessus les tuiles du mur du cimetière j'ai dû monter sur la tombe abandonnée de Madame Garnier. Chère âme, ce n'était pas sacrilège je vous assure.

A la sortie du cimetière

A la sortie du cimetière

Le château d'Albigny, monument historique
Le château d'Albigny, monument historique
Le château d'Albigny, monument historique
Le château d'Albigny, monument historique
Le château d'Albigny, monument historique

Ce château me rappelle un peu la vue de Beauchastel que nous avions du camping quand j'étais enfant. L'un de mes plus chers souvenirs ...

Nous y voilà, par la petite Montée du Vieux Château

Nous y voilà, par la petite Montée du Vieux Château

Le château d'Albigny, monument historique

Le château d'Albigny-sur-Saône est un ancien château-fort, de la fin du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle, remanié à la Renaissance et au 19ème siècle. Le château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 6 février 1942. - Source : Wikipédia

DES GENS Y VIVENT

DES GENS Y VIVENT

J'ai du mal à m'en éloigner ...J'ai du mal à m'en éloigner ...

J'ai du mal à m'en éloigner ...

Le château d'Albigny, monument historique

Et une petite dernière de l'église paroissiale de la Nativité-de-Notre-Dame avant de nous séparer. Vraiment, si vous avez la possibilité de passer un jour par Lyon, pensez à faire un petit détour par Albigny-sur-Saône. Les gens y sont sereins et souriants, et le patrimoine historique vaut le déplacement. On peut aussi prendre une boisson fraîche à la terrasse du bistrot sur la place. Et pour demain ou les jours à venir ma route est toute tracée, j'ai déjà choisi ma destination. Mais je ne vous en dirai pas plus pour vous réserver la surprise. Passez une agréable soirée, à bientôt !

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Caluire et Jean Moulin

Publié le 4 Mars 2019 par Thaddée dans Lugdunum à tous les temps

Vous l'aurez compris : je ratisse les quais de Saône tant que je suis sur la région lyonnaise. Hier après-midi : Caluire et Cuire - commune endormie au Nord de Lyon, mortellement ennuyeuse. Rien à voir, ou si peu. La ville est connue pour l'arrestation de Jean Moulin, le 21 juin 1943, dans la maison du docteur Dugoujon située au centre de la commune, mais aussi pour être la ville natale du poète oulipien, Jacques Roubaud.
◄ Ci-contre, l'église Immaculée Conception.

A défaut de monuments remarquables, eh bien je saute littéralement sur le cimetière en espérant trouver quelques vieilles tombes, ou caveaux pittoresques. Les cimetières sont des musées à ciel ouvert, on y voit toujours de tragiques sculptures d'anges ou de pleureuses. Comme je sais qu'il est interdit de prendre des photos dans les cimetières je fais bien attention à ne pas me laisser prendre. Créé en 1827, le cimetière est jalonné des sépultures d'anciens premiers magistrats :

Elie Vignal (1944-1965), Louis Dufour (1925-1929), Pierre Terrasse (1919-1924), le peintre Pierre Combet-Descombes, le peintre et poète Jean-Pierre Eugène Allard, etc.

Sous un pavillon à colonnes surmonté d'un dôme, une statue réalisée à Milan par Bottinello en 1887 : celle d'un ange qui n'est autre que Julie Alexandrine Bouvard décédée à l'âge de 28 ans.
La présence de nombreuses tombes aux noms de maraîchers, rappelle que Caluire et Cuire approvisionnait autrefois Lyon. En retour, nombre de familles lyonnaises vinrent trouver sur le plateau un repos éternel, attirés par les tarifs des concessions, sensiblement plus raisonnables qu'à Loyasse ! 

Le caveau des Valette, un sanctuaire de rocaille ... et un petit air de Lourdes vous ne trouvez pas ? - Je ne détiens aucune info sur ce drôle de monument brut de brut, taillé dans la pierre, alors qu'il s'agit très certainement du monument le plus original du cimetière de l'avenue Louis Dufour. Il en existe un second, le cimetière de Cuire, situé en haut de la Montée de la Rochette. 
Très émouvantes aussi, les tombes blanches, toutes simples, des soldats morts "des suites de la guerre".

Enfin, ci-contre, la maison où furent arrêtés Jean Moulin et ses compagnons, le 21 juin 1943, et qui était à l'époque le cabinet médical du Docteur Dugoujon. Le Département du Rhône a réhabilité la maison pour créer un lieu de mémoire  : le Mémorial Jean Moulin.
Le 21 juin 2014,  le Mémorial a été transmis à la Ville de Caluire et Cuire.
Une statue de Jean Moulin (oeuvre de Christiane Guillaubey) et des plaques commémoratives sont visibles sur la place Gouaihardou.

Les habitants de Caluire et Cuire (quartier issu de la scission de Cuire-la-Croix-Rousse) sont appelés les Caluirards. Il ne me reste qu'à vous souhaiter une bonne semaine et vous dire à bientôt sur vos blogs, et répondre à vos gentils commentaires.

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Dessinateurs de Sète

Publié le 3 Mars 2019 par Thaddée dans Les blogs et moi

Quand mon âme aura pris son vol à l'horizon Vers celles de Gavroche et de Mimi Pinson Celles des titis, des grisettes, Que vers le sol natal mon corps soit ramené Dans un sleeping du Paris-Méditerranée, Terminus en gare de Sète.

Georges Brassens

Comme vous vous en doutez, j'ai Sète en tête 24 heures sur 24 et il va être très bientôt question de visiter des appartements. Afin de préparer au mieux ma vie quotidienne dans la ville de mes rêves je me fais des listes qui vont des grandes surfaces alimentaires aux piscines sétoises. En effectuant mes recherches, évidemment je fais des trouvailles et c'est ainsi que je suis tombée sur deux blogs de dessinateurs qui ont eu la très bonne idée d'immortaliser l'île singulière à coups de crayon. Voilà donc ce que je vous propose aujourd'hui : un petit tour d'horizon de mon île bleue vue par deux artistes.

Je vais commencer par la Croqueuse Compulsive Sylvie qui fait partie des Urban Sketchers, organisation à but non lucratif qui met en avant la valeur artistique, narrative et pédagogique du dessin "in situ", qui en fait la promotion et créée des liens entre croqueurs du monde entier, qu'ils soient chez eux ou en voyage. Les sketchers français partagent leurs dessins sur le blog dont je vous adresse le lien ci-dessus , et/ou sur le groupe Flickr USK France.

Dessinateurs de Sète

Photos du 17 juillet 2018, place du Poulpe à Sète. Voilà maintenant ce qu'en fait Sylvie : pas mal non ?

Place du Pouffre, le pouffre étant le poulpe, symbole de la ville avec les tielles, spécialités sétoises

Place du Pouffre, le pouffre étant le poulpe, symbole de la ville avec les tielles, spécialités sétoises

Cette année, le 19 janvier 2019, je photographie la statue du jouteur. A droite l'interprétation picturale de Sylvie la Croqueuse ▼.

L'homme aux pieds nus - A la gloire des joutesL'homme aux pieds nus - A la gloire des joutes

L'homme aux pieds nus - A la gloire des joutes

Si vous souhaitez voir plus de croquis de Sylvie je vous invite à découvrir sa page consacrée à Sète ▼, notamment ses cadres verticaux lesquels évoquent des marque-pages : on croirait voir Sète à travers une étroite meurtrière.

J'enchaîne avec le blog Voyagitudes sur Overblog, tenu par un Lyonnais. Dans un style très différent de celui de Sylvie, emdé appréhende Sète à la façon d'un auteur de BD, et toujours avec une petite chanson dans la tête, et beaucoup d'humour.

Dessinateurs de Sète
Dessinateurs de Sète
Dessinateurs de Sète

Je vous invite à découvrir ici ▲ la singulière cartographie d'emdé et pour l'heure, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter un très joli dimanche, rempli de couleurs et de chansons. Les titis, Félix et moi on vous embrasse. A bientôt !

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