Par Thaddée © 1er avril 2013, un rêve trop loin
Vestiges, archives
Ô vieilles déviances
Évanouies aux rives
D’une ville !
Ma ville merveilleuse
Qui veille sur la mer
Ouverte comme une île
Aux voyageurs du vent.
De ma vie d’avant
Il me reste ce rêve
Un horizon fragile
Où se profile Sète …
Je ne veux rien de mieux
Foi d’une âme sauvée
Que le sel sur mes lèvres
Les embruns sur mes cils
Je ne veux rien de plus
Je ne vois rien de mieux
Que vivre en cette ville
Et la mer au milieu
Que vivre en cette ville
Avec l’eau dans les yeux.