Ondées folles d'avril
Clairsemées de soleil
Qui ballotent la ville
Et les champs tout pareil
Et mon île
Aussi bleue que le ciel
Mélange-t-elle aussi
Pluies d'avril et soleil ?
Mais sans elle
Qu'en est-il de mon île
Dont la mer est merveille
Mais sans toi.
Il n'est plus rien sur Terre
Ni sur mer que je voie.
© Le Blog de Frimousse
La poésie a coutume de traduire mes états d'âme en les dramatisant. Et pendant que j'apporte la touche finale à mon poème, j'apprends la mort de Frimousse. Quelle tristesse. Mes pensées sont avec ses Maîtres qui n'ont plus de chat qui dort, qui mange et qui joue dans leur maison à la montagne. Félix se joint à moi pour témoigner à la famille de Frimousse toute notre amitié.