J'ai toujours aimé les machines. Ce sont de gros jouets. Entre le sable et l'eau, l'étang, le chantier, se profile un insecte jaune et long.
La fosse est profonde. J'ai pris la photo hier après-midi en rentrant à pied de La Corniche. J'aurais pu vous montrer des arbres en fleurs, des cactus en fleurs, une vue des Salins, mais j'ai trouvé plus original de retenir cette photo-ci, car c'est elle qui illustre le mieux le chemin que je suis jusque chez moi.
Je vous prie de m'excuser pour l'absence de réponse à vos commentaires sur mes trois derniers poèmes. Commentaires dont je vous remercie. Mais je suis inapte à formuler le moindre avis sur mon écriture. Dans un texte littéraire tout est dit. Je peine à rajouter quoi que ce soit, qui risquerait de fracturer l'intégrité de ma pensée. Accepter qu'on me lise représente déjà un effort considérable. Hors de ma tour d'ivoire je n'ai pas grand-chose à dire. Alors je ne dis rien, c'est préférable.
J'espère que vous comprenez.
Passez une belle journée, à bientôt sur vos blogs, amitiés.