Voir le ciel au-dessus des toits, son éternelle ronde autour de toi qui te tourne la tête et qui te rend l’espoir qu’un jour, peut-être,
A deux sous le ciel et par-dessus les toits, toujours en plein soleil comme serait Dieu ma foi, tu voleras avec elle et puis elle avec toi pour que vire de
l’aile
Le si terrible effroi d’avoir à vivre sans elle et d’éprouver le froid,
D’avoir à vivre sans elle qui était tout pour toi.
© 23.08.09 Collapsus, TS