photo et video

Hier, douceur matinale

En direction de la Corniche

En début d'après-midi je retourne sur la Presqu'île de Thau voir les barques, mais en remontant le canal. Il fait un temps splendide, je croise pas mal de promeneurs et la circulation automobile est bien plus dense que ces derniers jours.

Je reprends ma formation à partir du mercredi 13 mai ... mais à distance. Je ferai donc de la télé-formation, sans webcam, sans imprimante, sans scanner, juste avec les moyens du bord. Au programme de ce dimanche : faire le pied de grue devant le bureau de vote pour avoir 1, 2 ou 3 masque(s) en tissu lavable(s). Il m'en faut absolument ... vu que les grandes surfaces sont déjà en rupture de stock ce que l'on doit, je pense, aux pilleurs de pâtes et de farine. Ces situations de crise révèlent vraiment le meilleur et le pire de nous-mêmes.

J'ai fait ce que j'ai dit, mon petit raccourci m'a permis d'aller retrouver pour un instant mes chers bateaux sur mon cher étang de Thau, sans me précipiter. Quel beau temps ! - Je suis en manches courtes et pantalon d'été, sandales aux pieds. Très peu de monde à l'extérieur : quelques personnes font leurs courses ; les autres flânent avec ou sans chien. La circulation automobile est plus rare qu'hier.

Bon. J'espère qu'en plus du confinement vous ne souffrez pas des intempéries, j'ai vu que dans le Sud-Ouest il y avait tempête. Et pour la petite histoire : je suis bien contente, l'ostéopathe qui rouvre son cabinet la semaine prochaine m'a appelée pour me fixer un nouveau rendez-vous ... sauf que je n'ai pas d'ostéopathe et que je n'ai pas besoin de rendez-vous !

Pas beaucoup de belles photos aujourd'hui mais je crois avoir trouvé un raccourci pour aller voir les bateaux. Ça va pas être des plus simples en une heure, ça va m'obliger à marcher vite, j'essaierai quand même demain.

Et puis ...

L'une de mes dernières poupées arrivée pendant le confinement au relais Chronopost Shop2Shop (guère plus cher que Mondial relay), la petite Monster High Catrine DeMew, fille d'un chat-garou, âgée de 415 ans !

Ce matin j'ai réussi à rendre visite à la plupart d'entre vous jusqu'à ce qu'un spam Orange se superpose à vos pages de commentaires. D'ailleurs si vous rencontrez ce problème vous aussi ... En vous souhaitant une  bonne soirée, à demain pour une autre balade et la poursuite de mes visites ... si c'est possible !

Confinement Jour 47, ma 2ème promenade. J'ai décidé de retourner aux Salins, quartier neuf que j'aime bien. En 1 heure, et le temps de prendre mes photos, c'est vraiment juste ! - Mais top chrono j'étais de retour chez moi dans les délais impartis. Je ne commente pas plus, je vous laisse regarder.

Le Mont Saint-Clair, qui rappelle le dos d'une baleine, a donné son nom à Sète, anciennement Cette. Littéralement, Sète signifie : baleine. Baleine qu'on retrouve sous forme de petite plaque sur de nombreux trottoirs de la ville.

J'aurais pu rentrer par cette passerelle mais j'aurais pris du retard et si je m'étais fait contrôler ... L'élan vital est revenu, je vous remercie de me l'avoir rendu ! Je viens vous rendre visite sur vos blogs demain, c'est promis. A très bientôt donc et bon dimanche !

Vos messages chaleureux m'ont convaincue de reprendre mes publications, que je dédie à celles et ceux qui ont le malheur d'habiter en zone rouge, et pour qui les conditions de déconfinement seront durcies. Pas trop de parlotte, surtout des images qui parlent d'elles-mêmes de la beauté du monde en ce printemps 2020 ; de la beauté de Sète dont je suis amoureuse. Les parcs ne sont pas rouverts au public mais à Sète la nature est partout. La verdure, et la mer par derrière, encore un peu loin pendant encore quelques jours ...

Mon premier printemps à Sète, ainsi que ma première promenade depuis le 16 mars, date du début du confinement. J'ai marché une heure, respiré l'air pur, et je me suis vidé la tête. J'espère pouvoir vous proposer tous les jours quelques photos ... Bon courage à tous, et merci de votre soutien.

Voilà bien longtemps que je ne vous ai pas gratifiés de quelques vues de Sète. Comme il me faut mon compte de mer et de bateaux et qu'en plus ça sent le printemps, ce 17 février dans l'après-midi je descends en ville profiter des quais, lesquels sentent bon l'iode et le poisson.

C'est toujours avec beaucoup d'émotion que je retrouve mes bateaux de pêche et de tourisme. En ce jour de la mi-février le temps est voilé, ma petite ville est nimbée d'un léger voile de brume qui adoucit l'atmosphère.

A l'entrée du pont de La Savonnerie, le guichet où l'on achète son billet pour une des mini-croisières sous les ponts de Sète ou sur l'étang de Thau. Il y en a à tous les tarifs et pour tous les goûts. Je crois les avoir toutes faites à l'époque où j'habitais encore à Lyon. 

Ce que j'ai tout de suite aimé à Sète, ce sont les filets de pêche au milieu du passage. Normal : chalutiers et thoniers sont en plein centre ville !

J'espère que vous avez apprécié la balade sétoise. Un de ces jours je vais demander à Félix de bien vouloir se prêter au jeu d'une séance photo. Je ne sais pas s'il sera d'accord. Mais je crois que ça ferait plaisir à ses copinautes de le voir pointer son petit bout de nez !

En ce dimanche bien gris, quelques couleurs de la rue de Tunis, mises en boîte au premier janvier de cette année.

Et pour finir un jeu de reflets dans l'eau, avec au premier plan une barque très patriotique, vous ne trouvez pas ?.

Malgré le manque de soleil passez une bonne journée de repos, bon courage à celles et ceux qui reprennent le travail demain, à bientôt !

Bonjour tout le monde,
Aujourd'hui c'est cadeau pour la grande communauté de chats que nous sommes puisque je vais vous présenter les vrais habitants de la Pointe Courte qui ne sont pas les résidents, les pêcheurs, les goélands, les cormorans, mais les chats : chats de particuliers bien sûr mais encore et surtout chats du refuge Pattes de Velours. Les chats de la Pointe Courte, ils sont partout : assis derrière leur fenêtre, sur le pas de leur porte, couchés sur leur voiture, déambulant dans les travées étroites et sur les quais de l'étang de Thau, sur les bateaux, dans les filets ... Ils sont partout. C'est ici leur territoire, leur lieu de promenade, leur rendez-vous pour toutes les choses importantes de la vie de chat : j'ai nommé le miam-miam.

Ce que je  n'ai pas compris, c'est que la dame qui les nourrit, sur la photo, n'habite pas à Sète. Est-ce que le reste du temps les chats sont livrés à eux-mêmes ? J'en ai vu qui sont en bien mauvais état ... J'essaierai de m'informer plus avant pour vous tenir au courant.

Les photos ont été prises ce 1er janvier. Depuis, certains sont peut-être nés, d'autres sont peut-être morts ... Pendant qu'on les nourrissait j'en ai dénombré une cinquantaine. C'est sans compter que les autres dormaient, ou étaient partis en promenade, ou attendaient patiemment leur tour. Combien y a-t-il de chats à la Pointe Courte ? - Cent ? Deux cents ? ... J'ai très envie de m'intéresser de plus près à leur sort.
D'ici là je vous souhaite une agréable fin de semaine en compagnie des chats chez qui vous habitez. Ils ne connaissent pas leur bonheur, mais vous connaissez le vôtre  .

Ce jour-là, il faisait un temps magnifique. Et depuis ce jour, revient chez nous la belle lumière gris-bleu qui fait se confondre l'air avec l'eau. Nous baignons littéralement dans le bleu. Mais les images parlent d'elles-mêmes. Alors je laisse la place et la parole aux images ...

A venir une surprise pour vous tous, alors guettez la prochaine parution. En vous souhaitant une agréable fin de semaine ...

Coucou chers toutes et tous,
Bien sûr je tricote toujours ! Mais attendez que je vous explique : certains tuto me plaisent beaucoup-beaucoup, seulement ils sont encore trop compliqués pour moi. Alors quand je repère des modèles et des tuto qui me séduisent, je les adapte à mes moyens. Certains de ces habits sont l'oeuvre de mon imagination, d'autres le fruit du hasard. Je ne maîtrise pas encore très bien les techniques de tricotage, encore moins de couture.

Je voudrais insister ici, sans une once d'amertume, sur le fait que le tricot est un moyen comme un autre d'exprimer ma créativité, au même titre que l'écriture à laquelle j'ai voué sans compter entre trente et quarante ans de ma vie. Quand j'étais plus jeune, je dessinais des filles habillées de robes étourdissantes, dont j'ai retrouvé la plupart sur les Barbies de Michelle (Laramicelle), créatrice de mode pour les poupées.
Alors que j'habitais encore à Lyon, j'avais deux projets en tête, concernant l'heure de la retraite : m'installer à Sète et me remettre au tricot. La perte de mon emploi pour inaptitude physique m'a permis d'anticiper la réalisation des deux projets qui me tenaient à cœur. C'est ainsi que désormais, je vis à Sète, et je tricote.
Et je n'ai pas à devoir me justifier de quoi que ce soit. L'écriture, ma première nature, s'imposera d'elle même sans que rien ni personne n'ait besoin de me mettre sous pression. Je ne suis pas du genre à me laisser enfermer pour écrire. Du reste je travaille en ce moment sur un nouveau roman qui, pour être  depuis quelque temps déjà coincé dans son pitoyable état d'embryon, n'en est pas moins très important à mes yeux, au point que j'y pense tout le temps.

Sur la deuxième photo vous avez vu la vache et le petit panier qui viennent tout droit des Puces, Bébé Margotte étant une petite bonne femme de la ferme. J'ai également trouvé de la laine ainsi qu'un petit dress form qui ravira, je pense, notre Nounou de Phiphi. Parce qu'à Sète, j'ai tranquillement organisé ma vie autour des plaisirs simples qui donnent du sens à l'existence : le dimanche matin je vais aux Puces, le mercredi matin je vais au grand marché du centre ville. En outre je suis à la recherche d'un emploi ou d'une formation. Mine de rien c'est un planning serré qui peux expliquer que parfois je m'éloigne des blogs. A Sète je revis, comme si je m'étais délestée d'un poids en quittant ma chère ville de Lyon, où je traînais quelques casseroles comme tout être humain qui se respecte.

Je me promène aussi. Là, j'ai pris en photo quelques façades et portes de la rue Montmorency qui conduit aux Puces en partant du quai. J'aime la vie que je mène. J'aime faire ce que je fais, et je demande qu'on me laisse faire ce que j'aime.

Ci-dessus la dernière tenue de Bébé Margotte. Vous aurez sans doute noté que c'est pour elle que je tricote le plus, son petit format me permettant de changer souvent de laine et de tricot. Elle est à peine plus grande qu'un bébé Paola Reina.
Au passage je remercie Emilie de m'avoir acceptée dans sa communauté "De bouts de fils aux brins de laine" et je vous souhaite à tous un agréable début de semaine. A bientôt pour vous lire et vous saluer.