Bonjour mes amis,
Tout d'abord je voudrais dire un petit mot de mon "irrégularité" sur les blogs, et plus spécifiquement de ma réponse à vos commentaires. Ce n'est pas que je me désintéresse de ce que vous m'écrivez, loin de là, mais ma forme générale varie beaucoup d'un jour à l'autre et me laisse peu de champ libre en termes d'organisation. Alors que je constatais un mieux réel ces deux derniers jours, avec un regain d'entrain propre en m'encourager sur la voie de la guérison, ce matin la vieille angoisse que je combats pourtant avec des médicaments revenait me coller à la peau. Quelques pas dehors ont suffi à me convaincre que je flippais encore pas mal à l'idée de reprendre mon travail. Je sentais le temps gris me peser sur le cœur un peu comme un étouffoir. Ce malaise s'est à peu près dissipé dès mon retour à la maison mais en début d'après-midi, je n'allais vraiment pas bien, il a fallu que j'aille dormir deux heures histoire de me laver le cerveau. Je viens à peine d'émerger. Devant moi, trois rendez-vous médicaux à honorer : mercredi contrôle à l'Assurance Maladie ; jeudi, consultation chez la gastro-entérologue ; lundi prochain, retour chez la doctoresse mettre à plat les derniers résultats d'examen et faire le point sur mon état général. Depuis plus de deux mois je passe ma vie chez le médecin, entre hôpital et laboratoire.
Loin de moi l'idée de me faire plaindre. Qui n'a pas ses problèmes, me direz-vous ? - Peut-être même des problèmes beaucoup plus sérieux que les miens. Non. Ce que je veux dire en rédigeant ces quelques lignes, c'est que j'ai l'impression de nager en eau trouble depuis plus de deux mois, et j'ai comme le sentiment que ça ne va pas se passer comme ça. Quand bien même je reprendrais le boulot, resterait en moi ce fond de vase : un mal être indéfinissable fait de fatigue, d'inquiétude et de découragement. Ce en quoi je croyais m'étant resté dans les mains comme un jouet cassé qui ne servirait qu'à me rappeler qu'on est bien naïf en ce monde, et qu'on est la proie désignée des plus opportunistes et des mieux nantis.
Qu'importe.
Je sais, depuis des siècles ! - que ma bonne étoile veille sur moi, et me montrera la voie en temps voulu, débrouillant sous mes pas l'écheveau de mes chemins emmêlés pour m'ouvrir une route toute neuve, toute droite, en direction du plus beau des jardins.
Voyez-vous, j'ai souvent l'esprit confus depuis que je suis malade. Ce qui explique peut-être ma mauvaise compréhension du concours organisé par Overblog sur le thème d'Halloween. En l'absence de règlement, je croyais tout bêtement qu'il s'agissait d'écrire une histoire d'horreur. Or, les résultats venant de tomber sur le blog du staff, je n'ai pu m'empêcher de penser à quel point j'étais stupide, et comme je pouvais par moments manquer d'imagination. Mon esprit littéraire, me direz-vous, m'inclinait à penser que le but du jeu, c'était de rédiger un texte. Que nenni ! - Le mot de la fin, c'est qu'on parle déguisement, maquillage, décoration, cuisine. Vous allez me dire : on est loin du 100% frissons prédit par l'annonce d'Overblog. Toujours est-il que je suis hors-sujet avec ma nouvelle Mena.
La sélection de la semaine spéciale Halloween est enfin là ! Vendredi c'est Halloween, les blogueurs rivalisent d'imagination pour vous terrifier ! On commence par un petit tour sur le blog de l...
http://staff-fr.over-blog.com/2014/10/la-selection-de-la-semaine-2.html
Je vais quand même attendre la toute fin du mois avant de vous traduire ma nouvelle en bon français. On ne sait jamais : des fois que je n'aurais pas eu tout faux en écrivant une horrible petite histoire. Mais quand même il me semble avoir fait fausse route.
Pour autant, ni amertume ni déception car j'ai pris beaucoup de plaisir à rédiger ce méchant petit texte. Ce que j'ai pu m'amuser en l'écrivant et en le relisant ! - Que demander de plus n'est-ce pas ? - Et si j'ai pu intriguer quelques un(e)s d'entre vous, j'ai gagné mon pari : je n'aurai pas écrit Mena pour rien.
Pour tout vous avouer : je ne suis pas fan de la fête d'Halloween, j'ai toujours boudé les costumes et les toiles d'araignées. Et ce que je préfère encore dans cette fête pour enfants, ce sont les pumpkins : les bonnes grosses citrouilles blanches, orange ou bleues. Pour moi la fin du mois d'octobre c'est ça : la douceur des courtes journées d'automne, beaucoup plus que la peur en orange et noir.
Alors peut-être tout simplement que je n'étais pas la personne indiquée pour participer au concours d'Overblog organisé sur le thème d'Halloween. C'était un peu : comme une imposture.